Êtes-vous sensible ?
Si oui, pensez-vous que c’est un défaut ?
Ne pas confondre vulnérabilité et faiblesse
Il arrive que l’on confonde la vulnérabilité et la faiblesse. Ce sont pourtant deux choses très différentes. Et nul ne devrait se sentir coupable de ressentir des émotions pas plus que de ne pas savoir les masquer.
C’est la société qui nous contraint à masquer nos émotions en ayant établi ce qui n’était pas socialement acceptable.
Mais au nom de quoi ?
En réalité, tout être humain est vulnérable. Que ce soit à la maladie, aux jugements, à la violence, à l’injustice, à la mauvaise foi, à l’indifférence, au rejet, à la trahison, à l’injustice…
Ce qui change vient de la façon dont on va montrer ou pas notre trouble.
En réalité, personne ne devrait jamais être gêné de ressentir des émotions, tout ce que nous ressentons est légitime et doit être libéré pour une bonne hygiène relationnelle.
Les émotions, c’est ce qui nous rend humains. Nous ne sommes pas des machines et c’est tant mieux !
Prendre les choses à cœur ce n’est donc ni bien ni mal.
Ce sont des personnes qui vivent avec intensité leurs émotions non pas au regard de ce qui se passe, mais de l’importance qu’elles accordent aux situations ce qui entraine un flot d’émotions toutes plus douloureuses les unes que les autres.
La solution : prendre de la distance.
Pas facile, mais possible.
En réalité, il suffit de cesser de suivre les pensées qui envahissent votre esprit. Ce sont vos pensées qui alimentent vos émotions et votre dialogue intérieur.
Revenir aux faits
Pour que cela cesse, il faut se poser et revenir aux faits. Les lister les uns après les autres pour les évaluer et pouvoir mettre de la distance entre le ressenti et la réalité.
Afin de savoir si ces faits méritent que vous leur accordiez de l’importance posez-vous cette question toute simple : quelle importance cela aura-t-il dans 1 an, 5 ans, 10 ans ?
Ressasser les événements c’est un peu comme secouer une boule de neige (ces globes en verre qui contiennent de la fausse neige ou des paillettes).
Si vous continuez à l’agiter, la tempête ne s’arrêtera pas et il ne vous sera pas possible de voir distinctement qu’elle contient.
Vos pensées sont comme ces flocons. Elles s’agitent et envahissent votre esprit, car vous leur accordez trop d’importance.
Je vous propose de me retrouver dans cette vidéo, dans laquelle j’explore d’autres pistes pour ne plus prendre les choses trop à cœur.
Êtes-vous sensible ?
Si oui, pensez-vous que c’est un défaut ?
Ne pas confondre vulnérabilité et faiblesse
Il arrive que l’on confonde la vulnérabilité et la faiblesse. Ce sont pourtant deux choses très différentes. Et nul ne devrait se sentir coupable de ressentir des émotions pas plus que de ne pas savoir les masquer.
C’est la société qui nous contraint à masquer nos émotions en ayant établi ce qui n’était pas socialement acceptable.
Mais au nom de quoi ?
En réalité, tout être humain est vulnérable. Que ce soit à la maladie, aux jugements, à la violence, à l’injustice, à la mauvaise foi, à l’indifférence, au rejet, à la trahison, à l’injustice…
Ce qui change vient de la façon dont on va montrer ou pas notre trouble.
En réalité, personne ne devrait jamais être gêné de ressentir des émotions, tout ce que nous ressentons est légitime et doit être libéré pour une bonne hygiène relationnelle.
Les émotions, c’est ce qui nous rend humains. Nous ne sommes pas des machines et c’est tant mieux !
Prendre les choses à cœur ce n’est donc ni bien ni mal.
Ce sont des personnes qui vivent avec intensité leurs émotions non pas au regard de ce qui se passe, mais de l’importance qu’elles accordent aux situations ce qui entraine un flot d’émotions toutes plus douloureuses les unes que les autres.
La solution : prendre de la distance.
Pas facile, mais possible.
En réalité, il suffit de cesser de suivre les pensées qui envahissent votre esprit. Ce sont vos pensées qui alimentent vos émotions et votre dialogue intérieur.
Revenir aux faits
Pour que cela cesse, il faut se poser et revenir aux faits. Les lister les uns après les autres pour les évaluer et pouvoir mettre de la distance entre le ressenti et la réalité.
Afin de savoir si ces faits méritent que vous leur accordiez de l’importance posez-vous cette question toute simple : quelle importance cela aura-t-il dans 1 an, 5 ans, 10 ans ?
Ressasser les événements c’est un peu comme secouer une boule de neige (ces globes en verre qui contiennent de la fausse neige ou des paillettes).
Si vous continuez à l’agiter, la tempête ne s’arrêtera pas et il ne vous sera pas possible de voir distinctement qu’elle contient.
Vos pensées sont comme ces flocons. Elles s’agitent et envahissent votre esprit, car vous leur accordez trop d’importance.
Je vous propose de me retrouver dans cette vidéo, dans laquelle j’explore d’autres pistes pour ne plus prendre les choses trop à cœur.
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