5 conseils pour donner du sens à sa vie et du bonheur

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-Premier conseil : Faites le bien ! Cela peut sembler un peu bateau comme conseil et pourtant, on passe beaucoup trop de temps, du temps perdu qui ne sert à rien, qui ne nous apporte rien ni à nous ni aux autres, à critiquer, juger, à regarder ce que les autres ont que nous n’avons pas, à être jaloux, envieux, à se comparer ; quel est l’intérêt de tout cela ? À quoi ça sert ? Ne vaudrait-il pas mieux distribuer des compliments, des sourires de l’amour à ces personnes-là, plutôt que de les juger sur leurs apparences, leur compte en banque, leur façon de dépenser leur argent, d’éduquer leurs enfants ? Qu’est-ce que ça peut bien nous faire et est-ce que cela va faire avancer quoi que ce soit ? La réponse est non ! Remplacez ça par des dons et vous verrez votre vie se transformer peu à peu.

-Deuxième conseil : Dans les moments difficiles, passez du mode problème au mode solution, ou foi ! Je vais vous expliquer tout ça en détail.

Souvent, quand on est englué dans nos difficultés, on tourne en rond avec son problème, on est vraiment comme dans un marasme, alors qu’il suffirait de s’extraire et de se poser une question toute simple : que puis-je faire, dans cette situation, pour l’améliorer, pour m’en sortir et que cela se passe mieux ? Alors, bien sûr, si vous mettez d’avance une barrière et que vous vous dites : « non, non, je n’y arriverai jamais », eh bien, vous ne trouverez pas de solution parce que vous allez rester dans le mode problème, alors qu’à tout problème existe une solution ! S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y avait pas de problème en fait. 

Oui, mettez-vous en mode solution, commencez à chercher ce que vous pourrirez faire, ce qu’il pourrait se passer, ouvrez votre esprit au possible et pas au problème ; vous verrez que cela va radicalement changer les choses ; souvenez-vous que,  plus vous êtes positif, plus vous attirez du positif dans votre vie ! 

-Troisième conseil : donnez-vous à fond pour faire la différence dans la vie des autres ! Il n’y a rien de plus gratifiant, je peux vous le dire, puisque c’est mon métier d’accompagner les gens et d’avoir régulièrement des témoignages de gratitude, cela arrive aussi sur cette chaine, dans vos commentaires, il n’y a rien qui me rende plus heureuse et épanouie que ça, en dehors de ma famille bien sûr, de mes enfants et l’amour qu’il me procurent et que je leur donne. Véritablement, juste après ma famille, ce qui me rend heureuse et épanouie, c’est ça.

On peut tous, à notre niveau, faire la différence dans la vie de quelqu’un d’autre. Soyez attentif, écoutez plus que vous ne parlez, cherchez comment vous pourriez aider. Il ne s’agit pas de proposer votre aide à tout va, mais un petit coup de pouce, un conseil, un soutien, ce sont des choses qui vont réellement faire la différence. Cela vous est sans doute arrivé d’avoir quelqu’un qui vous ait soutenu dans des moments difficiles ? Nous avons tous quelqu’un à qui l’on aimerait bien dire merci ; que l’on a perdu de vue peut-être, ou pas d’ailleurs, mais à qui l’on voudrait dire merci parce que cette personne a fait la différence, à un moment dans notre vie, quelle que soit l’histoire. Soyez cette personne-là pour quelqu’un d’autre, renvoyez l’ascenseur !

-Quatrième conseil : Ne blâmez jamais les autres ou votre passé ! C’est tellement facile de le faire ! Souvent, quand ça ne se passe pas bien, on a tendance à se dire : « c’est à cause de ceci, à cause de cela ; cela veut dire que l’on se décharge de la responsabilité et en même temps, on se décharge de son pouvoir ! Or, le pouvoir, on en a tous ; le pouvoir de transformer notre vie et de manière positive. Ça, je vous assure que c’est possible ! Toutefois, tant que vous restez dans une posture de victime puisque la victime, c’est celle qui ne peut rien faire, qui subit, ce que les autres ont fait, ou qui subit ce que le passé a été. Résultat, vous restez englué dans cette situation, vous ne cherchez pas de solutions, vous vous positionnez en victime sans même vous en rendre compte parfois ! Parce que vous n’avez pas l’air d’une victime, vous êtes peut-être une battante, oui, mais tant que vous vous dites que ce que vous n’arrivez pas à faire est la faute de quelqu’un d’autre ou d’un événement, vous vous positionnez en victime. Victime d’un passé, de situations, d’un événement, d’une personne. À partir du moment où vous cessez de blâmer les autres, vous prenez la responsabilité de votre vie, vous reprenez votre part de responsabilité.

Alors, bien évidemment, vous n’êtes pas responsable de tout, et responsable ne veut pas dire coupable, cela veut dire simplement que vous prenez votre part de responsabilité. Alors, peut-être qu’une personne vous a violée, c’est un fait, c’est incontestable ! Cette personne a cette responsabilité-là, mais votre responsabilité commence là où s’arrête celle de votre agresseur ! Ce n’est pas drôle ce que je vous dis là et je ne voudrais pas que l’on pense que je minimise les faits, vous me connaissez, vous savez que ce n’est pas pour ça que je vous dis ça, toutefois, je pense qu’à un moment, il faut se dire : « ok, il m’est arrivé ça, et c’était douloureux, mais qu’est-ce que je décide de faire parce que, si je continue de vivre dans ce passé en pensant qu’il me limite, quelque part, je donne raison à cet agresseur, je lui prouve qu’il a foutu ma vie en l’air à jamais, alors que je peux reprendre ma vie en main » ! Bien entendu, il y aura un avant, et un après, mais je peux la reprendre en main. 

Vous avez des tas d’exemples, des tas de gens qui ont écrit sur la résilience et sur la manière dont on pouvait transformer une expérience douloureuse en force, et surtout se relever et avoir le courage d’être heureux, malgré ses casseroles ! N’oubliez jamais que ce sont les choix que vous allez faire maintenant, qui vont conditionner la suite de votre histoire. Choisissez, mais choisissez bien ! Choisissez d’exercer votre pouvoir, d’être acteur de votre vie et non plus spectateur. Choisissez de sortir du passé, pour enfin vous ouvrir vers l’avenir !

-Cinquième conseil : Valorisez vos échecs pour ce qu’ils vous ont apporté, car, il y a toujours quelque chose à tirer des expériences douloureuses ; voyez ce que cela a eu de positif, parce qu’en effet, même dans les situations les plus dramatiques, cela peut développer, par exemple, un trait de caractère, quelque chose chez vous ; dépassez ça et ouvrez-vous à la vie !