Comment rester optimiste quand tout va mal ?
Nous allons voir aujourd’hui, 5 raisons pour rester optimiste même quand tout va mal autour de vous. Croyez-moi, si vous avez lu mes livres, je sais de quoi je parle ! Si vous arrivez sur cette vidéo pour la première fois, vous ne me connaissez pas.
Sachez que je ne suis pas là pour vous donner des leçons, mais pour vous partager mon expérience, mais aussi mes outils, mes ressources, que je mets à votre disposition sur cette chaine, et d’ailleurs, si cela vous plait, abonnez-vous, faites-le maintenant et cliquez la cloche pour être avisé de toutes mes nouvelles publications. Vous êtes également libre de télécharger mes 5 conseils pour transformer votre vie.
Alors, comment rester optimiste quand tout va mal ?
Il faut savoir que le pessimisme est un penchant naturel, depuis l’origine de l’humanité, l’homme des cavernes avait besoin de se souvenir des mauvaises choses pour assurer sa survie.
Par exemple, il devait se souvenir que s’il passait à un certain endroit, il y avait un troupeau d’éléphants qui risquait de charger, s’il mangeait ça il allait avoir mal au ventre, s’il touchait ça, il allait avoir des boutons, que s’il s’approchait de telle bestiole il allait se faire mordre ou autre. L’homme des cavernes avait besoin pour sa survie de se souvenir des dangers.
Nous, nous ne vivons plus au temps des cavernes, mais notre cerveau reptilien, archaïque, le cerveau des hommes des cavernes justement, est toujours là ; ce reptilien est toujours en action et c’est pourquoi, nous avons cette propension à être un peu pessimistes, ce côté où l’on se projette plutôt dans le négatif. Parce que, encore une fois, il fallait être prudent au temps des cavernes : « ça, je ne connais pas trop, je ne préfère pas y aller parce que j’ai peur qu’il m’arrive quelque chose ».
Or, aujourd’hui, nous vivons dans des pays plutôt sécurisés et sécurisants, où bien sûr il peut nous arriver des choses, mais c’est quand même assez sécurisant dans l’ensemble. Pourtant, nous avons encore ce réflexe du pessimisme. Certains plus que d’autres, bien sûr.
Déjà, je voudrais clarifier une chose, tout de suite : c’est qu’il n’y a pas dans votre ADN un truc qui fait que vous êtes optimiste ou pessimiste, pas du tout ! Ce n’est pas dans vos gènes, comme la couleur de vos yeux, de vos cheveux, la forme de votre visage ou autre ; rien de tout ça, c’est juste une habitude, et une habitude, ça peut se changer ! Ce qui veut dire que si vous avez une propension à la négativité, cette vidéo est pour vous, elle va vous montrer comment vous pouvez devenir, plus positif, plus optimiste.
Le premier conseil : vous poser cette question toute bête quand il vous arrive quelque chose de douloureux, quand vous êtes en situation de crise, cela peut être une crise familiale, avec votre enfant, avec un collègue, crise professionnelle, peu importe ; ce que j’appelle crise c’est-à-dire un problème, quelque chose de difficile, de douloureux pour vous que vous traversez. Pensez-vous que cela va mieux se passer si vous êtes optimiste ou pessimiste ? Être négatif va-t-il arranger la situation ou au contraire vous enfoncer un peu plus la tête sous l’eau? La réponse parait évidente, ou pas d’ailleurs, mais il est sûr que plus vous nourrissez de la négativité, moins vous allez bien ! Parce qu’en plus du malheur que vous vivez, vous rajoutez ce que j’appelle « de la charge à la charge » ! Déjà vous n’allez pas bien, vous avez de l’eau jusqu’au nez, vous avez du mal à respirer, en plus la charge vous fait encore descendre d’un niveau et là, vous étouffez !
Le fait d’avoir des pensées négatives cela crée des émotions négatives et ces émotions négatives vont produire des actions négatives. C’est à dire que si vous vous dites qu’il n’y a pas d’issue, que vous n’allez pas y arriver, que vous n’avez pas de chance, etc….Effectivement, vous allez nourrir des émotions d’accablement ou autre, et de ce fait, vos actions ne seront pas justes et ne vous aideront pas à sortir du problème. Vous allez vous engluer. En revanche, si vous vous convainquez, et il suffit de se le dire en fait, que cela va bien se passer, attention, il ne s’agit pas d’éliminer le problème, je ne fais pas du positivisme à tout prix, encore une fois, on doit accueillir ses émotions, et ses malheurs, mais il ne faut pas trop rester dedans, car, sans cela, c’est la dépression assurée et ce n’est pas bon pour vous ; qu’allez-vous faire si la dépression vous enlève la capacité de vous gérer vous-même ? Par contre, en cultivant l’optimisme, en vous disant que les choses vont s’arranger, que rien ne dure vraiment, que vous allez trouver des solutions, eh bien, vos émotions vont devenir meilleures ; si vous vous dites que cela va bien se passer, qu’aujourd’hui c’est compliqué, mais qu’il y a quelque chose de bien qui va arriver, que vous allez trouver, et là, vos actions vont être positives, vous allez saisir les opportunités que vous n’auriez pas vues dans l’autre cas.
Sachez enfin, que tout est temporaire et ça, le pessimiste a tendance à l’occulter. Le pessimiste pense qu’il va rester dans cette situation à vie ! Or, personne ne reste dans une situation à vie ! Ce n’est parce que vous avez été licencié par exemple, que vous allez rester au chômage toute votre vie ; peut-être, mais peut-être pas ! De toute façon, il y a quelque chose qui va changer, sauf, si vous cultivez trop de négativité. De la même façon si quelqu’un vous a quitté, cela ne veut pas dire que plus jamais vous ne referez votre vie. Vous recevez une mauvaise nouvelle, cela ne veut pas dire que vous recevrez de mauvaises nouvelles toute votre vie. Il a plu hier, cela ne veut pas dire qu’il va pleuvoir tout le temps. Le soleil revient, et il revient dans la vie aussi.
Si l’on est trop pessimiste, on oublie que tout est temporaire, et c’est ce qui nous empêche de nous ouvrir à un autre possible plus positif et plus favorable. Je vais terminer en vous racontant une histoire ; il y a des années de ça, il y a longtemps, j’avais une vieille voiture qui marchait tant bien que mal, elle avait une quinzaine d’années, comme toutes ces voitures anciennes, elle pouvait tomber en panne du jour au lendemain, et je commençais à cultiver ce dont je viens de vous parler ; je prends ma voiture, nous devions partir en vacances, c’était un lundi, je n’oublierai jamais le jour, je devais aller faire des courses, j’avais déposé ma fille à l’école et j’avais pris ma journée pour justement aller faire les petites courses qui me manquaient avant de partir en vacances. Il n’y avait pas 5 minutes que je roulais, j’étais sur une route de campagne, et d’un coup, plus de freins ! J’ai d’abord paniqué, heureusement je n’allais pas très vite, je me suis arrêtée, et là, le moulin dans ma tête s’est mis en marche, j’ai commencé à me dire : « eh bien, voilà, tu vas devoir annuler tes vacances, ça va te coûter une fortune en plus, tu n’as pas d’argent pour payer, et ça n’arrive qu’à toi, ce n’est pas juste, tu as vraiment mérité ces vacances ; comment cela se fait que ça n’arrive qu’à moi une chose pareille » ? Le moulin radio pessimisme s’était mis en route, et là, je me suis souvenu de ce que j’étais en train d’appliquer depuis quelque temps, et je me suis dit : « non, non, qui y a-t-il de positif dans cette situation » ? Je peux vous dire qu’au début ce n’était pas simple d’essayer de voir du positif dans cette situation ; pourtant, tout doucement j’ai pu me dire : « attends, tu aurais pu être sur l’autoroute, et là, ça n’aurait pas été la même histoire, tu aurais pu provoquer un accident, te tuer si tu avais été lancée à pleine vitesse », là je n’allais pas vite, la voiture s’est arrêtée d’elle-même, et alors là, d’un coup, et je roulais quand même, mais tout doucement, pour essayer de faire demi-tour et rentrer chez moi, où là aussi j’ai vu le truc positif, je n’étais qu’à 5 minutes de chez moi, peut-être allais-je réussir à rentrer en allant très doucement, sans accélérer, en roulant au pas. L’autre truc positif que j’ai vu, c’est que la rue était déserte, personne, et que j’allais pouvoir prendre mon temps ; alors que je faisais le tour du rond-point, pour faire demi-tour, mes yeux se sont posés sur une pancarte, qui, si j’avais été dans mon moulin je n’aurais pas vue, elle annonçait un garage à moins de 50 mètres ! Cette pancarte, j’étais passée devant plusieurs fois, je ne l’avais jamais remarquée et là, je vois l’enseigne de dépannages. J’ai roulé ces 50 mètres, je suis arrivée au garage, j’ai continué à me dire que tout allait bien se passer, que cela ne coûterait pas si cher que ça, et en fait, en sortant de la voiture, le garagiste est venu voir, il y avait une coulure sur la roue arrière, il m’a expliqué que c’était juste une histoire de liquide, il m’en a remis, je suis repartie et je n’ai rien payé ! Je vous assure que cette histoire, qui va peut-être vous faire rire, car, moi aussi après, je me suis posé des questions, peut-être que….,etc…, etc…eh bien, non, je suis sûre que mon état d’esprit a changé le cours de cette histoire !
Partager cet article